Vous avez dit radicalisation ? Entretien avec Laurent Bonelli

Publié le lundi 11 février 2019 par Aline Noël

Laurent Bonelli a co-écrit, avec Fabien Carrié, La Fabrique de la radicalité. Une sociologie des jeunes djihadistes français. Il présente les grandes lignes de leur enquête. Propos recueillis par Aline Noël.

vous avez dit radicalisation ? Entretien avec Laurent BonelliUn extrait de cet entretien a paru dans la rubrique « Grand angle : vous avez dit radicalisation ? » du no 266 (janvier-février 2019) de Profession Éducation, le magazine du Sgen-CFDT.

 

Sur quel matériau votre enquête repose-t-elle ?


Nous avons travaillé sur les dossiers judiciaires de 133 mineurs suivis par la protection judiciaire de la jeunesse pour des faits de terrorisme (départs vers la Syrie, l’Irak ou tentatives d’attentat…) ou signalés pour radicalisation (ici, les comportements de mineurs suivis pour des affaires civiles ou pénales ordinaires ont suscité l’inquiétude des professionnels). Nous avons eu accès à l’intégralité des rapports socio-judiciaires : entretiens avec les mineurs, leurs parents, visites à domicile…

Avoir pu travailler sur du matériau de première main constitue une exception dans les recherches sur les questions de violence politique.

De plus, nous avons mené 57 entretiens avec les professionnels qui ont rédigé ces rapports, pour comprendre comment ils procèdent, ce qu’ils choisissent de consigner. Notre enquête est l’une des plus documentées à ce jour en Europe. Avoir pu travailler sur du matériau de première main constitue une exception dans les recherches sur les questions de violence politique. Un atout de la justice des mineurs est qu’elle génère beaucoup d’informations, donnant ainsi à lire des histoires de migrations, de conflits internes à la famille, d’investissements scolaires… Un matériau qui, pris avec précaution, permet d’interroger la logique de l’engagement radical.

 

Quelle typologie avez-vous dégagée ?


L’enquête a démontré qu’il y avait différentes formes de radicalité répondant à différentes logiques sociales. Nous avons pu en dégager au moins quatre, qui n’ont pas grand chose à voir entre elles. La plus spectaculaire, que nous avons appelée utopique, désigne ceux qui ont un engagement politique et idéologique dans le djihadisme. Elle concerne très peu d’individus en France.

L’enquête comprend un peu moins de 70 cas qui composent l’intégralité des mineurs poursuivis pour terrorisme entre 2012 et 2017. Pour les trois autres modes de radicalité, de loin les plus nombreux – nous avons retenu un échantillon – les comportements sont davantage liés à des problématiques adolescentes, comme des quêtes identitaires : ainsi, on a appelé radicalité apaisante, des formes de quête existentielle qui, au sein de familles très meurtries, clivées, utilisent la religion pour mettre de l’ordre dans ces désordres familiaux. Ce phénomène assez banal est pris pour de la radicalité lorsque le comportement du jeune achoppe sur les valeurs des parents, dont l’inquiétude est enregistrée par la justice parce qu’elle s’inscrit sur fond d’attentats islamistes. De la même manière, d’importants conflits entre des enfants et des parents très encadrants peuvent fabriquer une radicalité rebelle. Par exemple, vont se convertir à l’Islam des enfants de militaires français, ou de catholiques, ou de familles explicitement antimusulmanes…

Après l’attentat contre Charlie Hebdo, une bonne manière de perturber l’institution scolaire a été de ne pas respecter les minutes de silence.

Enfin, la quatrième forme de radicalité, qu’on a appelé agonistique par référence aux travaux sur les bandes de jeunes, est, numériquement, la plus importante en France et intéresse davantage l’École car elle concerne des jeunes souvent en échec scolaire, souvent délinquants, issus de familles cumulant de grandes difficultés… Ces mineurs, très connus des institutions (police, justice pénale), les connaissent eux-mêmes remarquablement bien, et saisissent rapidement comment les déstabiliser.

Après l’attentat contre Charlie Hebdo, une bonne manière de perturber l’institution scolaire a été de ne pas respecter les minutes de silence. Alexandra Oeser, qui a travaillé sur la transmission de la mémoire du nazisme en Allemagne [1], témoigne que les mauvais élèves, quand on parle du nazisme à l’école, vont en faire l’apologie, pas parce qu’ils sont nazis mais parce qu’ils ont trouvé un moyen efficace, sur le moment, pour dérouter une institution dont ils considèrent qu’elle les rejette. Ce parcours adolescent adopté face à la police, aux travailleurs socio-judiciaires, aux profs, constitue un mécanisme, à la fois de provocation et de revalorisation de soi, qui fonctionne, mais ne fait pas nécessairement de ces jeunes, à la différence des utopiques, des djihadistes. Dans notre échantillon, aucun n’est passé à l’acte.

[1] Enseigner Hitler. Les adolescents face au passé nazi en Allemagne, Editions de la MSH, 2010

 

La radicalisation est un parcours, semble-t-il. Qu’est-ce qui contribue à le construire ?

Quand on considère ces différentes logiques à l’œuvre, on constate d’une part que la radicalité n’est pas une essence, elle est relationnelle. La conversion à l’Islam de jeunes pour mettre en ordre des désordre familiaux ne fait pas d’eux des radicaux, mais l’institution les labellise comme tels à un moment donné dans un contexte donné.

La radicalité est une relation entre une transgression (ici, aux yeux des parents) et la réaction à cette transgressivité. On ne peut jamais exonérer, notamment l’institution, de ce processus de définition de la radicalité. D’où les débats sur la question de la radicalisation pour savoir ce qui en relève ou non. Un engagement jugé radical aujourd’hui peut cesser dans dix ans, ou inversement. D’autre part, la radicalité est un processus, il faut comprendre les logiques à l’œuvre.

Le matériau auquel on a eu accès a permis de voir comment se construisaient ces trajectoires d’engagement pour les plus convaincus. C’est essentiellement à partir de ce qui se joue dans la famille, ainsi que dans les groupes de pairs, qu’on découvre comment des jeunes, qu’a priori rien ne prédisposait à ce cheminement, vont s’engager. On lit aussi comment cet engagement résout un certain nombre de difficultés ou problématiques liées à leur histoire personnelle et familiale. Ces indicateurs sont précieux car, sur les questions politiques, on a rarement accès à ce qui se joue dans la socialisation et dans les familles.

 

Les jeunes utopiques ont, dites-vous, un rapport contrarié à l’École…


Nous avons été surpris de constater que les jeunes les plus engagés –  qui ont pris des risques physiques et pénaux, en essayant de rejoindre la Syrie ou de commettre un attentat – sont plutôt des bons élèves, issus de familles appartenant au haut des milieux populaires ou au bas des classes moyennes.

Ces jeunes sont inconnus des services de police ou de justice pour les affaires pénales. Ce n’est évidemment pas la seule trajectoire d’engagement (voyez Mohamed Merah, Amedy Coulibaly…), mais dans notre recherche, elle concerne de manière écrasante les mineurs qu’on a étudiés. Leurs parents, souvent migrants de première génération, ont fait le choix d’une forte intégration (certains ont francisé les prénoms de leurs enfants, ont gommé le rapport aux origines) et ils misent sur une ascension sociale par procuration, à travers la réussite scolaire de leurs enfants. L’Ecole est au cœur du projet de ces jeunes. Les parents assurent un encadrement très strict des fréquentations des enfants et s’emploient à leur donner les moyens d’étudier (la plupart ont leur propre chambre).

Les jeunes les plus engagés (…) sont plutôt des bons élèves, issus de familles appartenant au haut des milieux populaires ou au bas des classes moyennes.

Dans le primaire et au collège, ces enfants ont de bons résultats et ils aiment étudier. La plupart sont orientés en lycée général. Comme beaucoup vivent dans des petites villes, le déplacement d’un collège de quartier populaire vers un lycée de centre ville entraîne plusieurs changements : les exigences scolaires sont plus élevées et le recrutement social confronte ces jeunes à un public beaucoup mieux préparé à la compétition scolaire. Avec de mêmes habitudes de travail, ils obtiennent des résultats moyens, voire médiocres. En outre, ils sont en bute au rejet exprimé à travers des moqueries, par exemple sur le physique ou par l’attribution d’un surnom (« le kamikaze » pour le seul élève arabe d’une classe)… Ce racisme (social) déguisé les amène à se questionner : l’un dit « je n’étais plus à ma place ». Ces gamins, jusque-là ajustés sur le plan scolaire, ne peuvent plus remplir le projet familial.

Une découverte de l’enquête est comment l’appétence scolaire, les dispositions à l’étude, vont trouver un débouché dans l’idéologie djihadiste : ils réinvestissent intellectuellement cette cause qui va leur permettre de condamner le modèle républicain (l’Ecole) et le modèle parental, dont ils critiquent la volonté d’intégration et l’oubli des origines. Ils vont se réinventer une communauté idéelle dans une sorte de quête des origines, souvent très largement reconstruites. Leur premier geste n’est pas de rejoindre la Syrie ou de commettre un attentat. Ils vont passer d’un mécanisme individuel à un mécanisme collectif, en constituant des petites communautés émotionnelles avec des personnes comme eux, qui ont vécu la même expérience, ce qui leur permet d’échapper à l’idée d’échec personnel. Projet familial, projet scolaire et report sur une idéologie sont étroitement intriqués.

 

Peut-on distinguer, chez un ado, ce qui relève d’une transgression « normale », passagère d’une transgression inquiétante ? Quels conseils donneriez-vous aux professionnels de l’éducation ?

L’enquête révèle que le passage d’un mode de radicalité à un autre est assez exceptionnel. En général, les comportements qui par exemple relèvent de la radicalité agonistique restent au stade de la provocation. Il ne faut pas y voir des Mohamed Merah en puissance. Dans les établissements où les personnels ont sur-réagi (je renvoie aux travaux d’Alexandra Oeser1 et rappelle que le nazisme est un délit pénal en Allemagne), ces comportements ont eu tendance à se démultiplier et à se diffuser. Quand ça marche, autant persévérer.

À l’inverse, dans des établissements où l’on a joué le jeu de la désescalade, ces attitudes ont eu tendance à tarir. Quant au type de logique conduisant à l’engagement le plus fort, il ne débouche pas nécessairement sur le djihadisme. Le désajustement vécu entre le collège et le lycée par des enfants de milieux populaires est très fréquent, et préoccupant : nombre de comportements liés aux automutilations, aux tentatives de suicide, à l’anorexie, à la dépression s’installent à la suite d’un projet parental déçu… En revanche, la radicalité utopique est rare et a des chances de diminuer encore au regard de la situation en Syrie. Pour l’essentiel, ces mineurs ont été arrêtés, neutralisés, avant qu’il y ait passage à l’acte ou au cours du passage à l’acte. Les services spécialisés ont de grandes compétences en la matière.

Il ne faut jamais négliger le rôle de l’institution et être conscient qu’une réponse institutionnelle, même de bonne volonté, peut contribuer à aggraver la situation.

Évidemment, rien n’est fixé, un provocateur peut franchir la ligne rouge, cependant il ne faut jamais négliger le rôle de l’institution et être conscient qu’une réponse institutionnelle, même de bonne volonté, peut contribuer à aggraver la situation. Dès lors qu’on adopte une stratégie d’escalade, nul ne sait comment on en sort. Il n’y a pas de panacée, mais certaines précautions peuvent aider les professionnels à décrypter les situations auxquelles ils sont confrontés. Et ces grilles de lecture leur permettent d’ajuster leurs réponses au plus près de la situation vécue.

 

L’auteur

Laurent Bonelli est maitre de conférence en science politique à l’université de Paris-Nanterre.
Il est co-rédacteur en chef de la revue Cultures & Conflits, et rédacteur en chef adjoint de la revue International Politicial Sociology (Oxford University Press)

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