Mixité scolaire : interview de Farid Ben Moussa, trésorier de No Ghetto!

"Les Minguettes" à Vénissieux concentre des familles défavorisées issues de l'immigration. Pour l'Association "No Ghetto" il faut sortir de cette logique et peser sur les politiques pour plus de mixité sociale et évidemment scolaire. Entretien avec Laurent Gomez, Laurent Kaufmann et Dominique Bruneau.

No Ghetto est une association qui milite pour la « promotion de la mixité sociale et d’origine dans les collèges publics ».
Créée dans la banlieue lyonnaise, les membres militent pour une modification de la Loi afin de contraindre les collectivités territoriales à modifier la carte scolaire pour ainsi sortir de la ségrégation qui est aujourd’hui installée dans de très nombreux endroits. Farid ben Moussa, Trésorier qui habite Le Quartier des Minguettes à Vénissieux a accepté de répondre à nos questions.

Comment vous définiriez la mixité ?

La mixité, ce n’est pas qu’une question scolaire, elle joue sur l’ensemble de la société.
Par contre le fait de mixer des enfants et donc des familles au sein des établissements scolaires aura des conséquences sur toute la vie des personnes et donc du vivre ensemble de notre société. La mixité aura ainsi des conséquences sur la qualité de vie au travail des professeurs dans les établissements scolaires. La mixité ne peut s’arrêter à regarder les revenus. En rural, par exemple, le niveau de revenu est souvent proche de ce que l’on peut rencontrer dans les milieux ghettoïsés de nos quartiers et pourtant, au niveau des attitudes et de l’apaisement en collège ou en milieu rural, cela n’a rien à voir. On ne voit pas par exemple d’émeutes en ruralité. Pour No Ghetto, on parle de Mixité sociale et d’origine. La seule approche par les revenus ne suffit pas.

Concrètement, pourquoi avez-vous constitué une association ? La mixité scolaire doit passer d'abord par une mixité sociale

Il faut sortir d’écoles, de collèges où il n’y a que des noirs et des arabes. A Vénissieux dans le quartier des Minguettes, on a des enfants qui ne parlent plus français à la sortie de la classe alors même que certains parents ne le parlent pas chez eux.
A la restauration on sort parfois des élèves parce qu’ils mangent du porc aux repas parce que ces enfants se faisaient agresser.
Parallèlement à cela, des familles contournent la carte scolaire pour éviter cela et vont principalement dans le privé. Pourtant, ces enfants qui vivent en vase clos sont en France et ils vont plus tard devoir se confronter aux autres jeunes de la région lyonnaise, ils n’auront pas les codes.
Si on met des petits maghrébins dans un quartier mixte, à aucun moment on aura un problème de vêtement religieux ou de discours fondamentaliste. Ce sont des effets de bande. Alors, quand en plus les autorités décident de construire un immeuble entre les deux quartiers les pires en terme de mixité de la banlieue lyonnaise, on voit bien que la mixité de fait partie des priorités des politiques. On va maintenir les familles pauvres du quartier ensemble. Chacun ensuite se renvoie la balle pour dire qu’il n’est pas responsable des choix d’implantation de ces établissements : communes, agglomération, département, éducation nationale, Etat. Pourtant la Loi Peillon de 2012 incite cette mixité. Le problème, c’est qu’elle n’est pas assez contraignante. Elle dit : les autorités territoriales « peuvent » créer la mixité. Nous à No Ghetto, on veut que ce mot changent et devienne « doivent ».

On voit bien que la mixité sociale, tout le monde en parle mais personne n’en veut.

Pourquoi ne veut-on pas de cette mixité au bout du compte ?

La société est, comme le dit Jérôme Fourquet de l’IFOP, dans une archipellisation des envies et des besoins. Personne ne veut de cette mixité mais pour des raisons différentes.
Dans les quartiers défavorisés, on n’en veut pas car on souhaite que les enfants restent dans le giron familial : que les garçons ne fréquentent pas les filles, ne pas manger de porc, pas fréquenté des jeunes qui ont d’autres habitudes que les leurs, que les filles n’aillent pas à la piscine. Ces familles ont la volonté que les enfants reproduisent ce que les parents ont vécu et ne s’émancipent pas des traditions (le voile pour les filles, pas d’alcool… Pire, les islamistes des quartiers ne veulent pas qu’ils voient autre chose, les dealeurs veulent aussi avoir les jeunes sous la main quand ils sortent de l’école pour leur trafic. Dès lors tout cela cultive la peur de l’ailleurs. On mise dans ces quartiers certes sur une ascension sociale mais elle ne doit pas être trop rapide. Comme ces familles n’ont pas un niveau scolaire élevé, certains ne savent pas lire ou parler le français, le fait de laisser réussir, au sens où on l’entend en France, leurs enfants est du domaine de l’abstrait.  Parler avec ces familles ne sert pas à grand-chose, les choses doivent changer parce qu’il y a une volonté politique des responsables. Ces politiques sont responsables de les maintenir dans ces conditions de vie, de ghettoïsation et la Loi, la carte scolaire mixée est fondamentale pour cela.

Pourtant, on a massivement investi dans ces quartiers ?

La politique de la ville, l’ANRU, ce sont des milliards d’Euros qui ont été injectés et ont été inefficaces. En effet, dans la société, la ségrégation n’a fait qu’augmenter.
Le Vénissieux de 2023 est plus ségrégué que le Vénissieux de 1975.
500 millions d’Euros investis sur 20 ans aux Minguettes a permis seulement d’augmenter la mixité de 4 % ce qui est dérisoire. En fait, avec ces subventions, on fabrique un système pour que les gens restent sur place. On construit des piscines, des cinémas, des maisons de quartiers où ils vont se retrouver entre eux sans capacité à s’émanciper et à voir d’autres personnes hors de leur quartier. Ce qui marche avec une population mixée ne fonctionne pas avec une population à forte immigration et encore plus avec l’immigration récente qui ne parle pas un mot de français et qui a fui leur pays pour diverses raisons. Si en plus dans un quartier tout le monde parle arabe, pourquoi apprendre le français ?
La politique de la ville maintient cet état de fait sauf à penser qu’une collectivité locale en fasse un cheval de bataille comme à Toulouse notamment où cela donne des résultats en terme de réussite scolaire, de climat dans le quartier… L’enseignement privé n’est pas à blâmer car il ne fait que profiter des erreurs du public. L’Etat en créant ces ghettos fait peur aux familles et incite les familles favorisées à envoyer leurs enfants vers le privé. Il en va de même pour les enfants de familles défavorisés qui sont en réussite, c’est un moyen de fuir. En changeant la Loi et surtout en étant contraignant dans son application, l’envoi dans le privé ne sera plus un problème. Pourquoi payer 200 ou 300 € mensuels si on a un collège, une école à côté où l’enfant n’aura pas les effets du quartier et où il n’aura aucun risque de se faire agresser ? La question du déplacement n’est pas non plus une raison. Les enfants qui vont dans le privé aujourd’hui font parfois une heure de bus le matin et le soir pour aller vers leur établissement scolaire. Tout cela, ce sont des fausses raisons pour éviter de vouloir cette mixité.

Qu’est-ce qui bloque en fait ? Il faut imposer la mixité dans la Loi dit No Ghetto

Le constat aussi c’est que dès que l’on veut mettre en place un peu de mixité sociale dans les collèges, on a une levée de boucliers des profs. Cela concerne autant les enseignant.e.s qui sont en REP+ que celles et ceux se trouvant dans les établissements favorisés et ce pour des raisons différentes. Les enseignant.e.s des collèges favorisés ne veulent pas voir arriver d’enfants dits difficiles de peur d’avoir trop d’hétérogénéité au sein des classes. Pour celles et ceux des quartiers REP+ la question de la peur de perdre la prime conséquente est importante.  Les avantages sont tellement incompris que seuls les inconvénients sont perçus. Les expériences menées en la matière sont des réussites. Notre objectif à No Ghetto est donc de convaincre en premier lieu les professionnels de l’intérêt d’avoir de la mixité dans leur établissement. Si on n’y arrive pas, ce sont ensuite les parents qui ne vont pas aller dans ce sens et évidemment par ricochet les enfants. En créant cette mixité, on diminue fortement par exemples les agressions sur les enseignant.e.s et on apaise le climat scolaire.

C’est surtout au collège que cela se joue et c’est bien là qu’il faut œuvrer.

Comment on réagit à la réussite dans ces quartiers ?

En fait, et pour l’avoir vécu au sein des Minguettes, dans ces établissements scolaires, il y a l’effet de bande. Quand on sort de l’école, du collège du cœur de quartier, on a les dealers qui sont là, on se doit de prouver que l’on est des virils. Un bon élève, c’est quelqu’un que l’on rejette.  Dès lors, si on est bon élève, si on est trop gentil avec le prof, on risque de se faire frapper à la sortie. Le regard des autres dans le quartier pousse à adopter des comportements agressifs. C’est pour cela qu’il faut sortir de la concentration de familles qui ont les mêmes codes pour justement permettre aux jeunes de se confronter à d’autres réalités et ainsi créer du lien social. Si je regarde ma photo de maternelle, je suis le seul qui ait le bac, non pas que les autres ne pouvaient pas y arriver mais parce que l’environnement, l’entourage ne le leur a pas permis.

On a mis en place des dispositifs comme les classes dédoublées, vous en pensez quoi ?

Sur cette mise en place des classes dédoublées, cela fonctionne bien en CP, bien en CE1 mais comme en CE2, le dispositif s’arrête, les enfants perdent tout en une année.
Au-delà de cela, on a aussi des établissements qui regroupent dans une même classe les enfants à « problèmes ». Bilan impossible pour certains élèves de travailler et comme le phénomène de groupe opère, on se retrouve avec d’autres qui ne veulent pas montrer qu’ils ont envie d’apprendre. Si on change la donne en mettant les enfants dans des collèges différents, des classes différentes, les effets de bande vont disparaître et ce même s’ils se revoient le soir. On pourra ainsi leur permettre de se développer, de s’émanciper de sortir de leurs traditions. La difficulté, c’est que l’on n’a pas le réseau pour l’imposer. Les personnes de milieux favorisés savent activer les bons réseaux (politiques, journalistiques, juridiques) pour faire capoter toute tentative allant dans ce sens de la mixité.

Il n’y a que la Loi qui peut faire bouger les choses.

Quels conséquences pour les jeunes ?

Par exemple, Il n’y aurait sans doute eu aucune émeute au printemps dernier si les quartiers étaient mixtes. On limiterait les effets de bande source d’entrainement mutuel. C’est par exemple plus facile de vendre un pistolet, de la drogue à quelqu’un que tu connais et que tu fréquentes tous les jours. L’inverse est beaucoup plus compliqué. Les questions cultuelles et religieuses sont aussi fondamentales. Ainsi, à Vénissieux, en face de chaque collège, il y a une mosquée. Le nouvel établissement qui va sortir de terrer aura également une mosquée en face. D’autre part, les familles qui réussissent ont une seule envie, quitter le quartier. Les personnes qui vont les remplacer sont, pour leur part, encore plus pauvres et ça, c’est une responsabilité de l’Etat. Pour ces familles qui partent, c’est un moyen de fuir son passé, les misères que l’on a pu avoir. Celles qui idéalisent leur vie antérieure au sein d’un quartier comme les Minguettes souffrent sans doute du Syndrome de Stockholm. Les gens qui y vivent sont tellement dans un milieu sale, dégradé qu’ils s’inventent une vie idyllique au sein de leur environnement. Dès que ces personnes arrivent à la retraite, elles retournent dans leur pays d’origine souvent en Afrique et leur ancien quartier n’existe plus. Si la vie dans ces quartiers étaient aussi bien, ils y resteraient pour y finir leur vie.

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