« Il y a eu une avancée dans la rédaction des textes mais, l’arrêté contient une contrainte tellement forte sur la mise en œuvre, avec un pilotage central, et peu d’autonomie laissée aux établissement, qu’on ne voit pas comment on va pouvoir faire des groupes flexibles à la rentrée » s’inquiète Caroline Brisedoux, secrétaire nationale de la fédération SGEN‑CFDT. « Il y a un problème de moyens. Pour faire des groupes, il faut diviser les classes et donc avoir plus d’enseignant à ce stade les moyens n’ont pas été donné. » ajoute-t-elle.